Les OGM, on n’en veut pas sur le marché ni dans notre assiette

Le vendredi, on nous annonçait la fin de la grève de la faim contre les OGM. Et oui, la clause de sauvegarde de MON 810 a été activée par le gouvernement. Mais, ce n’est pas fini car début février devrait être lue une proposition pour un texte de loi autorisant la plantation des OGM en plein champs. Or, le problème majeur qui est la cause de la clause de sauvegarde est valable pour tout OGM : la dissémination.

C’est pour cette raison que le lendemain une quinzaine de militantEs (Greenpeace, les Faucheurs volontaire, la Confédération paysannes, les Amis de la terre et Chiche !) était présentE sur le marché pour faire signer des pétitions et discuter avec les gens sur les OGM : les dangers et ce que l’on peut faire. En effet, l’immense majorité de la population étant contre les OGM, il est facile, d’envisager l’interdiction de ces dernier en plein champs.

Nous avons aussi décidé de rencontrer les sénateurs et les députés, auxquels sont destinés ses pétitions. Certains reprennent les propositions d’amendemenst que nous faisons, à savoir une interdiction des OGM tant qu’il n’y a pas un moratoire fait sur cette question. Mais d’autres campent sur leur positions, et continuent a pensé que les OGM ne sont pas nocifs. Il y a donc encore à faire avant le vote de la loi en février, c’est pour cette raison que nous resterons vigilants et présent.

Annonce, echos et compte-rendu dans le Dauphiné Libéré.

Compte-rendu sur TV8 Mont-Blanc.