Difficile de faire toutes ses courses en n’achetant que des produits issus de l’agriculture biologique. Ça coûte cher et on n’a peut-être pas les moyens de suivre. Si malgré ça vous aimeriez faire un geste pour l’environnement en allant faire vos courses, voici quelques conseils, souvent économiques, pour vous aider à protéger la planète. >suite
Une autre mondialisation est possible, dit-on... Oui, mais laquelle ?
Ceux qu’on appelle désormais les "altermondialistes", après avoir été des "anti-mondialisation", se battent contre un capitalisme mondialisé, où l’argent se déplace selon le plus gros profit attendu, sans cure des gens que ces (...) >suite
Les transports, c’est la cause du plus gros problème environnemental actuel : l’effet de serre augmenté par les voitures, les camions, les bateaux et les avions qui sillonnent notre planète et qui nous dérèglera bien vite le climat. Souvent on profite des transports bon marché (oui, l’essence ne coûte pas à celui qui l’achète autant qu’elle coûte à l’environnement), quand il s’agit de produire des marchandises là où la main d’oeuvre est bon marché pour les envoyer ensuite là où on les vendra cher, là où les consommateurs ont du pognon. Est-ce dans ce monde hypermobile que nous souhaitons vivre ? >suite
Pas question de dire qu’il est possible de consommer autant mais en mieux, comme le proposent les entreprises vendant leur "développement durable" et leur "conso citoyenne" à travers des produits bio ou du commerce équitable, en offrant aux bobos des choix de consommation qui satisferont leur conscience. Pour consommer mieux, il faudra aller plus loin et en passer par consommer moins. Être écolo c’est ainsi parfois faire des économies, mais ça peut aussi être accepter de payer plus, de payer le vrai prix des choses. >suite
La cuisine est un poste important quand on veut être plus écolo chaque jour. Nous consommons en effet principalement des produits alimentaires, et même si cela se sent peu sur notre porte-feuille car leur prix a considérablement baissé au cours du dernier siècle, on les voit passer en remontant les courses. Quelques gestes pour préserver l’environnement. >suite
Refuser que d’autres aient des boulots de merde
Ca fait des emplois... oui mais lesquels ? Est-ce qu’au fond c’est cela que nous voulons, passer nos journées au travail ? ChacunE a besoin d’un revenu, pas d’un travail. Plutôt que d’occuper chacunE, y compris à des tâches sans intérêt ou nocives pour (...) >suite
Que l’on vive en appartement en ville ou en maison à la campagne, que l’on soit locataire ou propriétaire, on peut toujours chez soi faire des gestes pour l’environnement. >suite
Pour comprendre le Front national, après le 21 avril, il faut revenir sur le fond de ce qui fait l’action politique : la critique du monde tel qu’il est et la construction de visions alternatives. C’est ce que le FN a su faire, avec ses réponses chimériques et dangereuses. Il s’est posé comme un recours à la « décadence ». Pour le contrer, il ne suffira pas de se donner bonne conscience. Il faut proposer une autre voie de sortie de la « crise du sens » qui frappe nos sociétés. >suite
L’augmentation effreinée des transports est enfin remise en cause. Les écolos de tout poil osent enfin revendiquer la prise de mesures contre cette source de pollution dont les effets sur le réchauffement climatique ne peuvent plus être niés : la chasse aux 4x4 va bientôt pouvoir commencer. Tant mieux ! >suite
Le Front national est " un parti de nature raciste et xénophobe " ; le jugement émane de Jacques Chirac, Président de la République française (23 mars 1998). Après " l’épreuve " des élections régionales de mars 1998, le chef de l’Etat entend que la Nation adopte une position parfaitement claire sur la dénonciation du Front national et sur le refus des accords électoraux, au risque de voir se rompre le système politique français. Il est temps de refuser de considérer le Front national (FN) comme un mouvement politique anodin. Cette identité déviante du FN proviendrait d’une nature incompatible avec les valeurs fondamentales de la République. Cela lui assignerait une place à part dans le monde politique. L’opinion du Président traduit-elle une vision conforme à l’histoire que les partis de droite et de gauche entretiennent avec l’extrême droite ? >suite